(translation below)
Oh la pâleur nacrée de ces doux soirs d’été
Où l’ombre caressait de ses mains trop savantes
Nos âmes enlacées.
Pauvres rêves noyés par la clarté naissante
De l’aube, se glissant des profondeurs ouatées
D’un sommeil sans liens.
Le vent laissait couler ses cheveux dans les tiens.
Oh the iridescent pallor of sweet summer nights where darkness caressed, with all knowing hands our entwined souls. Poor dreams, drowned in the dawning light slip from the padded deep of an unfettered sleep. The wind lets its hair ripple in yours.